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L’à venir, chez Fables fertiles…
GD, pour Fables fertiles, 7 janvier 2025
- Février
Le temps est bien proche, c’est là notre conviction, où la nécessité de présenter Galien Sarde sera largement perçue comme superflue. Demeurera alors la belle et impérieuse nécessité d’informer le lecteur de chacune de ses nouvelles offrandes.
Fables fertiles a choisi de s’engager avec Galien Sarde au printemps 2022 et est depuis l’éditeur – avec Le Rouge et Laure, troisième roman à paraître le 13 février 2025 – de toute l’œuvre romanesque de ce jeune auteur qui connaît une magnifique trajectoire littéraire.
Le Rouge et Laure, c’est une nouvelle fois et sans conteste cette touche esthétique extrêmement maîtrisée de certain point de vue, mais détachée, pour autant, des usages normatifs de la langue bien faite. Le Rouge et Laure est objet de cette recherche singulière et reconnaissable entre toutes, sise entre onirisme et tension, au service, ici, d’un nouveau roman qui manque – un mot pour « éclatante réussite » – d’être uniquement polar parmi d’autres polars, puisque le romancier s’approprie les codes du genre avec la plasticité qu’on lui connait pour en jouer, et jouer la permanence de cette lutte vitale entre le sens tragique de l’existence et une intense vibration du désir. Oui, l’essentiel, avec Galien Sarde, est toujours ailleurs, puisqu’il nous ouvre les portes, bien des portes créatives. Intense.
« Le Rouge et Laure », de Galien Sarde – ISBN 978-2-493872-11-1, 232 pages. Prix public (TTC) : 18,70€. Date de parution : 11 février 2025
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L’été, Lagord. Gaspard Vance s’éteint dans des circonstances troubles. Des doutes se font jour, une enquête s’ouvre. Gaspard Vance, il est vrai, était riche, et Laure, beaucoup plus jeune que lui, et à couper le souffle. Mais l’essentiel est peut-être ailleurs.
Avec Le Rouge et Laure, Galien Sarde signe son troisième roman, où se joue une lutte vitale entre le sens tragique de l’existence et une intense vibration du désir.
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- Mars
« lhan Jung prête à sa vie privée, sociale, ce qui est normalement attendu, jusqu’à son réveil, ce lundi matin, où il demeure parcouru par un rêve étrange qu’il ne parvient à laisser tout à fait à sa nuit ».
À paraître le 6 mars 2025, Souvenirs de la maison de l’aube, de Guylian Dai, est le court roman d’une profonde mutation, un récit d’ombres et de surgissements, d’ouvertures à l’amour et à la grâce de l’aube. C’est aussi le récit, baroque, de ce qui dérange, de ce qui échappe, de l’accueil que le personnage-narrateur saura ou non réserver à ce nouveau visage de lui-même, tel qui semble se former, à l’encontre de tous ceux d’une édification longue, laborieuse, dont les contours viennent soudainement à s’effriter. Saura-t-il fonder, refonder, modeler de nouvelle main ? C’est encore le récit de la rencontre de l’autre, de cet autre du dehors, du fou et de la promesse, en premier lieu inimaginable, que celui-ci porte, du fait même de ce qu’il contient de dérèglements et d’accueils, qui le perdent et le sauvent tout à la fois. Une promesse, au travers d’un être manifestant un incroyable concentré de vie et de création. Ou ce pas de plus avant la chute ? Un risque, pris.
L’écriture s’invente au fil des pages, au cœur d’une logique tout entière de la sensation, de la découverte.
« Souvenirs de la maison de l’aube », de Guylian Dai – ISBN 978-2-493872-12-8, 102 pages. Prix public (TTC) : 15,00€. Date de parution : 11 mars 2025
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Ilhan Jung prête à sa vie privée, sociale, ce qui est normalement attendu, jusqu’à son réveil, ce lundi matin, où il demeure parcouru par un rêve étrange qu’il ne parvient à laisser tout à fait à sa nuit.
Avec ce court roman, dense, Guylian Dai livre le récit troublant de la journée d’un personnage où tout, ou presque, vient à tomber. À lever ?
Un récit d’ombres et de surgissements, d’ouvertures à l’amour et à la grâce de l’aube.
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