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Galien Sarde

© SD2022 pour Editions fables fertiles

Natif de Blois, Galien SARDE a 48 ans et est agrégé de lettres modernes. Il sonde la fiction et les liens qu’elle entretient avec le désir. Métaphore première de celle-ci, la lumière – partant, les couleurs – occupe une place de choix dans son style qui conjugue réalisme et onirisme. Dans ses romans, l’auteur dépeint des univers qu’il déploie entre ténèbres prégnantes et clartés aveuglantes, d’une écriture magnifiquement ciselée, et use du détour qu’autorise la fiction pour questionner le réel et mettre au jour les structures invisibles qui orientent psychologies, destinées.

Ils en ont parlé (à propos d’Echec, et Mat) :

Un récit comme on rêve d’en écrire (…) ;

Cette fable fertile donne à la femme la place fragile des regards ultimes.

Luc Vigier *

* Luc Vigier, de L’ITEM (CNRS), est un enseignant-chercheur Maître de conférences de littérature française à l’université de Poitiers. Il y dirige depuis 2008 l’axe Aragon des Ecritures du XXème siècle. Il donne régulièrement sa voix lors de rencontres et colloques et propose de nombreuses chroniques dans le domaine des lettres et des arts.

Galien Sarde : “C’est après l’écoute d’images oniriques que la dystopie a surgi” (in Actualitté, nov. 2022)

Surprenant premier roman : enfermés dans un monde souterrain surveillés par une mystérieuse milice, plusieurs hommes et femmes parviennent à s’échapper, et sillonnent le désert à bord d’une jeep. Apocalyptique, effrayant, le livre se situe à mi-chemin entre le roman de science-fiction et le récit poétique. Galien Sarde, quarante-six ans, agrégé ès lettres, y déploie une langue riche, en une sorte de lyrisme sombre, sinon apocalyptique. Deuxième ouvrage publié par Fables fertiles, la toute jeune maison de Guylian Dai, Échec, et Mat, loin des grosses machines littéraires et des prix de la rentrée, tranche par son originalité, sa force onirique. Propos recueillis par Étienne Ruhaud. LIRE L’ENTRETIEN : ICI

Ils en ont parlé (à propos de Trafic) :

Véritable ode à la fiction que ce deuxième et beau roman de Galien Sarde, à la fiction comme génératrice d’images, comme lieu de l’histoire et des histoires.

Rodolphe Perez, pour Zone Critique*

* LIRE L’ARTICLE INTEGRAL : ICI