Ils en ont parlé (“L’angélus des ogres”) :
Laurent Pépin fait partie de ces rares auteurs qui n’abrutissent pas par l’image choquante et vulgaire de l’horreur, et suggèrent par le style la limite du dicible.
Camille-Apollonia Narduccci, in Marianne (12 oct. 2023)
Ils en ont parlé (“Monstrueuse féérie”) :
« Laurent Pépin nous offre peut-être avec Monstrueuse féérie de quoi transformer nos névroses en poésie. »
Maximilien Friche, in “Mauvaise Nouvelle”
“(…) l’auteur parvient à transmuter les terreurs et les monstres en une beauté sauvage, dérangeante et admirable.”
Evelyne Sagnes, in “desirdelire”
« Seule demeure la curiosité d’une plume libre, très personnelle, agissant comme une foreuse de puits, celle qui s’enfonce loin dans les méandres de la pensée humaine. Choc encore et toujours. Et paradoxalement, c’est beau, d’une beauté insolite et inédite.
Patrick Beguinel, in “Litzic”
« Fable clinique, conte fantastique, relation oscillant entre le grotesque et le macabre, cette ‘Monstrueuse Féerie’ ne trahit donc jamais son titre. Humaine dans ses excès, empathique pour les cabossés de la vie, les dérangés de l’affect et les esprits mis en panne par le ressassement sans fin de paralogismes irréductibles, la ‘Monstrueuse Féerie’ s’éclaircit ici et là de fugues et de poussées poétiques et d’images (…).”
Hilaire Alrune, in YOZONE
« Puissant, percutant, dérangeant, merveilleux, délirant (…). A mi-chemin entre la nouvelle et le roman, entre le réel et le fantastique, cette ode rendant hommage à la poésie des malades mentaux traite du sujet avec inventivité, profondeur et délicatesse. A lire absolument ! »
Céline Proust, librairie Raconte-moi la terre, Lyon.
« (…) une tentative de sublimation du monde pour le rendre respirable, touchant par son authenticité, un acte de re-création brouillon et libérateur, au charme fou.»
Claude Ecken, Galaxies
“Étonnante et redoutable initiation à une psychiatrie merveilleuse, comme d’outre-monde : un exercice poétique, tendre, cruel et inattendu, de haute volée.” Hugues Robert, blog de la librairie Charybde.
« Si vous êtes sensibles à l’univers de Tim Burton ou de Tod Browning, si, comme le personnage principal vous vous sentez proche des bizarres, vous verrez qu’étrangement, une fois ce conte cruel refermé, vous vous sentirez moins seul. »
Sophie Germain, in Nouvelle Donne.
” Un mélange très rare de crédulité juvénile et de lucidité plus grave, qui font de ce drôle de texte un produit d’époque autant qu’un objet littéraire dont on attend la suite avec l’avidité curieuse des potes du petit Potter…”
Jean-Louis Kuffer, in revue Le passe-muraille.
” (…) une œuvre littéraire fascinante, chaotique et horrifique, admirablement écrite. Il s’agit d’un de mes coups de cœur de l’année.”
Feyd, in L’épaule d’Orion.
“Fou majestueux, amoureux transi, menteur ironique…”
Cedric Lepine, Médiapart.