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L’année 2025 – rétrospective des parutions
Ralentir, c’est résister à la perte de sens à engager ce que l’on engage, et 2025 n’aura pas échappé à ce souci, constant, de ne rien trahir d’un projet éditorial ; d’une ligne. Le catalogue, exclusivement constitué, jusqu’à aujourd’hui, d’auteurs contemporains, marque un engagement, déterminé.
Nous avons publié cette année, par ordre chronologique :
Jérôme, tout au bord, de Clotilde Escalle
“Absolument vertigineux” – Marie-Hélène Lafon
“Une sublime écriture” – Pierre Jourde
“Un plongeon en pure littérature, au plus profond de l’âme et de nos inquiétudes”, in Dissonances
𝐽𝑒́𝑟𝑜̂𝑚𝑒, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑟𝑑, de Clotilde Escalle, fut le premier roman du millésime 2025 Fables fertiles. Un choc littéraire, vibrant, qui scella parfaitement une rencontre fertile avec notre maison. Un roman de rentrée abondamment commenté, d’une force et une justesse sidérantes. Clotilde Escalle y abaisse la scène, tamise les feux des projecteurs, tant les vérités difficiles de l’être sont rêches, émouvantes. Un récit où se tissent absurde, humour et tragédie. Puis une voix, celle de l’« aventure d’une écriture »…
𝟦è𝗆𝖾 𝖽𝖾 𝖼𝗈𝗎𝗏𝖾𝗋𝗍𝗎𝗋𝖾 : « 𝖩é𝗋ô𝗆𝖾 𝖵𝖾𝗎𝗅𝗂𝗇 𝗌𝖾 𝗋𝖾𝗍𝗂𝗋𝖾 à 𝗅𝖺 𝖼𝖺𝗆𝗉𝖺𝗀𝗇𝖾, 𝖺𝗉𝗋è𝗌 𝖺𝗏𝗈𝗂𝗋 𝗋𝗈𝗎𝗅é 𝗌𝖺 𝗃𝖾𝗎𝗇𝖾𝗌𝗌𝖾 à 𝖯𝖺𝗋𝗂𝗌. Il 𝗏𝗂𝗍 𝖺𝗏𝖾𝖼 𝗌𝖺 𝗆è𝗋𝖾, é𝖼𝗋𝗂𝗍 𝖼𝖾 𝗊𝗎𝗂 𝗅𝗎𝗂 𝗉𝖺𝗌𝗌𝖾 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝗍ê𝗍𝖾, 𝖺𝗎 𝖼𝗋𝖾𝗎𝗑 𝖽’𝗎𝗇𝖾 𝖺𝗍𝗍𝖾𝗇𝗍𝖾 𝗂𝗇𝖽é𝖿𝗂𝗇𝗂𝖾. Le 𝗍𝖾𝗆𝗉𝗌 𝖺𝗅𝖺𝗇𝗀𝗎𝗂 é𝗀𝗋𝖺𝗂𝗇𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝗁𝖾𝗎𝗋𝖾𝗌 𝗌𝖺𝗇𝗌 𝖿𝗂𝗇. 𝖩é𝗋ô𝗆𝖾 𝗍𝗈𝗎𝗋𝗇𝖾 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗎𝗇 𝖻𝖺𝗅𝗅𝖾𝗍 𝗈ù 𝗌’𝖺𝗀𝗀𝗅𝗎𝗍𝗂𝗇𝖾𝗇𝗍, 𝗂𝗇𝖽𝗂𝖿𝖿é𝗋𝖾𝗇𝖼𝗂é𝗌, 𝗅𝖾𝗌 𝗈𝖻𝗃𝖾𝗍𝗌 𝖾𝗍 𝗅𝖾𝗌 ê𝗍𝗋𝖾𝗌, 𝖽𝗈𝗇𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝖾𝗌𝗌𝗈𝗎𝗋𝖼𝖾𝗋𝗂𝖾 𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖾 𝗋𝖾𝖿𝗎𝗀𝖾 𝖾𝗍 𝗅𝖾 𝗍𝗁éâ𝗍𝗋𝖾 𝗂𝗆𝗆𝗈𝖻𝗂𝗅𝖾. Et 𝗌𝗂 𝗎𝗇 𝖼𝗈𝗎𝗉 𝖽𝖾 𝖽é𝗌 𝗏𝖾𝗇𝖺𝗂𝗍 𝖽é𝗉𝗈𝗌𝖾𝗋 𝗅𝖾 𝗃𝗈𝗎𝗋 𝖽’𝖺𝗉𝗋è𝗌 ? »
Le Rouge et Laure, de Galien Sarde
“Des notes, des verbes, des mots, qui étonnent, troublent, mais qui rendent au roman, à la musique, une étrange force, un vertige qui électrifie le récit.”, in La Cause Littéraire
Un style “où les variations d’ombre et de clarté, les textures et les bruits ambiants sont décrits avec une précision qui confine parfois à l’hypnotique” in Zone Critique
Le Rouge et Laure est le troisième roman de Galien Sarde. Tous les romans de l’auteur ont été publiés chez Fables fertiles, qui attestent d’une trajectoire littéraire à la fois intense et bien peu commune où l’esthétique, langue d’orfèvre, joue avec les codes de genre, et s’en joue, qui alterne entre vertige et tension, entre puissance désirante et touchantes vulnérabilités.
𝟦è𝗆𝖾 𝖽𝖾 𝖼𝗈𝗎𝗏𝖾𝗋𝗍𝗎𝗋𝖾 : « 𝖫’é𝗍𝖾́, 𝖫𝖺𝗀𝗈𝗋𝖽. Gaspard 𝖵𝖺𝗇𝖼𝖾 𝗌’𝖾́𝗍𝖾𝗂𝗇𝗍 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝖽𝖾𝗌 𝖼𝗂𝗋𝖼𝗈𝗇𝗌𝗍𝖺𝗇𝖼𝖾𝗌 𝗍𝗋𝗈𝗎𝖻𝗅𝖾𝗌. Des 𝖽𝗈𝗎𝗍𝖾𝗌 𝗌𝖾 𝖿𝗈𝗇𝗍 𝗃𝗈𝗎𝗋, 𝗎𝗇𝖾 𝖾𝗇𝗊𝗎ê𝗍𝖾 𝗌’𝗈𝗎𝗏𝗋𝖾. Gaspard 𝖵𝖺𝗇𝖼𝖾, 𝗂𝗅 𝖾𝗌𝗍 𝗏𝗋𝖺𝗂, 𝖾́𝗍𝖺𝗂𝗍 𝗋𝗂𝖼𝗁𝖾, 𝖾𝗍 𝖫𝖺𝗎𝗋𝖾, 𝖻𝖾𝖺𝗎𝖼𝗈𝗎𝗉 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝗃𝖾𝗎𝗇𝖾 𝗊𝗎𝖾 𝗅𝗎𝗂, 𝖾𝗍 à 𝖼𝗈𝗎𝗉𝖾𝗋 𝗅𝖾 𝗌𝗈𝗎𝖿𝖿𝗅𝖾. Mais 𝗅’𝖾𝗌𝗌𝖾𝗇𝗍𝗂𝖾𝗅 𝖾𝗌𝗍 𝗉𝖾𝗎𝗍-𝖾̂𝗍𝗋𝖾 𝖺𝗂𝗅𝗅𝖾𝗎𝗋𝗌. Avec “𝖫𝖾 𝗋𝗈𝗎𝗀𝖾 𝖾𝗍 𝖫𝖺𝗎𝗋𝖾”, 𝖦𝖺𝗅𝗂𝖾𝗇 𝖲𝖺𝗋𝖽𝖾 𝗌𝗂𝗀𝗇𝖾 𝗌𝗈𝗇 𝗍𝗋𝗈𝗂𝗌𝗂è𝗆𝖾 𝗋𝗈𝗆𝖺𝗇, 𝗈𝗎̀ 𝗌𝖾 𝗃𝗈𝗎𝖾 𝗎𝗇𝖾 𝗅𝗎𝗍𝗍𝖾 𝗏𝗂𝗍𝖺𝗅𝖾 𝖾𝗇𝗍𝗋𝖾 𝗅𝖾 𝗌𝖾𝗇𝗌 𝗍𝗋𝖺𝗀𝗂𝗊𝗎𝖾 𝖽𝖾 𝗅’𝖾𝗑𝗂𝗌𝗍𝖾𝗇𝖼𝖾 𝖾𝗍 𝗎𝗇𝖾 𝗂𝗇𝗍𝖾𝗇𝗌𝖾 𝗏𝗂𝖻𝗋𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇 𝖽𝗎 𝖽é𝗌𝗂𝗋. »
Souvenirs de la maison de l’aube, de Guylian Dai
“Une cartographie intime et poétique des secousses qui préludent à une potentielle métamorphose.” in Mare Nostrum
“Source d’inouï, la poésie s’invite naturellement pour dérouter la langue, en faire un lieu d’épiphanies.” in ActuaLitté
𝑆𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑢𝑏𝑒 est le second roman de Guylian Dai, qui “montre avec une humanité féroce ce qui se cache derrière nos visages, ce que la littérature peut révéler” (Olivier Stroh). L’écriture, très expérientielle, se forge à mesure que ruptures et métamorphose emportent Ilhan Jung au cœur d’une journée unique vers la grâce, ou l’abîme.
𝟦è𝗆𝖾 𝖽𝖾 𝖼𝗈𝗎𝗏𝖾𝗋𝗍𝗎𝗋𝖾 : « 𝖨𝗅𝗁𝖺𝗇 𝖩𝗎𝗇𝗀 𝗉𝗋ê𝗍𝖾 à 𝗌𝖺 𝗏𝗂𝖾 𝗉𝗋𝗂𝗏é𝖾, 𝗌𝗈𝖼𝗂𝖺𝗅𝖾, 𝖼𝖾 𝗊𝗎𝗂 𝖾𝗌𝗍 𝗇𝗈𝗋𝗆𝖺𝗅𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝖺𝗍𝗍𝖾𝗇𝖽𝗎, 𝗃𝗎𝗌𝗊𝗎’à 𝗌𝗈𝗇 𝗋𝖾́𝗏𝖾𝗂𝗅, 𝖼𝖾 𝗅𝗎𝗇𝖽𝗂 𝗆𝖺𝗍𝗂𝗇, 𝗈ù 𝗂𝗅 𝖽𝖾𝗆𝖾𝗎𝗋𝖾 𝗉𝖺𝗋𝖼𝗈𝗎𝗋𝗎 𝗉𝖺𝗋 𝗎𝗇 𝗋ê𝗏𝖾 é𝗍𝗋𝖺𝗇𝗀𝖾 𝗊𝗎’𝗂𝗅 𝗇𝖾 𝗉𝖺𝗋𝗏𝗂𝖾𝗇𝗍 à 𝗅𝖺𝗂𝗌𝗌𝖾𝗋 𝗍𝗈𝗎𝗍 à 𝖿𝖺𝗂𝗍 𝖺̀ 𝗌𝖺 𝗇𝗎𝗂𝗍. “𝖲𝗈𝗎𝗏𝖾𝗇𝗂𝗋𝗌 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝗆𝖺𝗂𝗌𝗈𝗇 𝖽𝖾 l’𝖺𝗎𝖻𝖾” 𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖾 𝗋é𝖼𝗂𝗍 𝗍𝗋𝗈𝗎𝖻𝗅𝖺𝗇𝗍 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝗃𝗈𝗎𝗋𝗇é𝖾 𝖽’𝗎𝗇 𝗉𝖾𝗋𝗌𝗈𝗇𝗇𝖺𝗀𝖾 𝖽𝗎𝗋𝖺𝗇𝗍 𝗅𝖺𝗊𝗎𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗍𝗈𝗎𝗍, 𝗈𝗎 𝗉𝗋𝖾𝗌𝗊𝗎𝖾, 𝗏𝗂𝖾𝗇𝗍 à 𝗍𝗈𝗆𝖻𝖾𝗋. À 𝗅𝖾𝗏𝖾𝗋 ? 𝖴𝗇 𝗋é𝖼𝗂𝗍 𝖽’𝗈𝗆𝖻𝗋𝖾𝗌 𝖾𝗍 𝖽𝖾 𝗌𝗎𝗋𝗀𝗂𝗌𝗌𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍𝗌, 𝖽’𝗈𝗎𝗏𝖾𝗋𝗍𝗎𝗋𝖾𝗌 à 𝗅’𝖺𝗆𝗈𝗎𝗋 𝖾𝗍 à 𝗅𝖺 𝗀𝗋â𝖼𝖾 𝖽𝖾 𝗅’𝖺𝗎𝖻𝖾. »
Chergui, de Joëlle Pétillot
“Un conte d’une beauté foudroyante”, in Mare Nostrum
“Au creux des songes fantasmés, les vœux réalisés”, in Le Contre Hasard
𝐶ℎ𝑒𝑟𝑔𝑢𝑖 est un conte onirique emprunt de spiritualité, qui procède de façon remarquable à la recréation d’un désert traversé par le Chergui, espace qui symbolise tant un désert physique
qu’existentiel. Ces êtres inexplicablement endormis s’y perdent peut-être. Ou se trouvent? Une plume de conteuse, juste sublime.
𝟦è𝗆𝖾 𝖽𝖾 𝖼𝗈𝗎𝗏𝖾𝗋𝗍𝗎𝗋𝖾 : « “𝖢𝗁𝖾𝗋𝗀𝗎𝗂” 𝖾𝗌𝗍 𝗅’𝗁𝗂𝗌𝗍𝗈𝗂𝗋𝖾 « 𝖽’𝗎𝗇𝖾 𝖼𝗂𝗍é 𝗈𝖼𝗋𝖾 𝖾𝗍 𝖻𝗅𝖺𝗇𝖼𝗁𝖾, 𝗉𝗈𝗌é𝖾 𝖾𝗇 𝗉𝗅𝖾𝗂𝗇 𝖽é𝗌𝖾𝗋𝗍 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾 𝗎𝗇 𝖻𝗂𝗃𝗈𝗎 𝗌𝗎𝗋 𝖽𝗎 𝗌𝖺𝖻𝗅𝖾 ». 𝖫𝖾 𝖽é𝗌𝖾𝗋𝗍 𝖽’𝗈𝗋 𝖺𝗉𝗉𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖾𝗍 𝗁𝖺𝗉𝗉𝖾. 𝖫𝖾𝗌 é𝗏è𝗇𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍𝗌 𝗁𝗎𝗋𝗅𝖾𝗇𝗍 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾 𝗅𝖾 𝗏𝖾𝗇𝗍 𝗆𝖺𝗎𝖽𝗂𝗍 𝗌𝗎𝗋 𝗅𝖺 𝗏𝗂𝗅𝗅𝖾, 𝗉𝗅𝗈𝗇𝗀𝖾𝗇𝗍 𝖼𝖾𝗋𝗍𝖺𝗂𝗇𝗌 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗎𝗇 𝗌𝗈𝗆𝗆𝖾𝗂𝗅 é𝗍𝗋𝖺𝗇𝗀𝖾, 𝖾𝗑𝖺𝖼𝖾𝗋𝖻𝖾𝗇𝗍 𝗅𝖾 𝗋ê𝗏𝖾, 𝗅𝖺 𝗉𝖺𝗌𝗌𝗂𝗈𝗇, 𝗅𝖾 𝖽é𝗌𝗂𝗋 𝖿𝗈𝗎 𝖽’𝗎𝗇 𝖼𝗈𝗋𝗉𝗌, 𝗅𝖺 𝗌𝗈𝗂𝖿 𝖽𝖾 𝗏𝖾𝗇𝗀𝖾𝖺𝗇𝖼𝖾, 𝗅𝖺 𝗏𝗂𝗈𝗅𝖾𝗇𝖼𝖾 𝖽𝗎 𝗌𝖾𝖼𝗋𝖾𝗍. 𝖢𝖾𝗍𝗍𝖾 𝗁𝗂𝗌𝗍𝗈𝗂𝗋𝖾 𝖾𝗌𝗍 𝖼𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖽’𝗎𝗇 𝖾𝗇𝗇𝖾𝗆𝗂 𝗌𝖺𝗇𝗌 𝗏𝗂𝗌𝖺𝗀𝖾, 𝗌𝗂𝖿𝖿𝗅𝖺𝗇𝗍 𝗌𝗎𝗋 𝗅𝖾𝗌 𝗍𝗈𝗂𝗍𝗌 𝖾𝗍 𝗌’𝖾𝗇𝗀𝗈𝗎𝖿𝖿𝗋𝖺𝗇𝗍 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗅𝖾𝗌 𝗋𝗎𝖾𝗅𝗅𝖾𝗌. 𝖢𝗁𝖾𝗋𝗀𝗎𝗂 𝖾𝗌𝗍 𝗌𝗈𝗇 𝗇𝗈𝗆. »