Galien SARDE, inlassable, chaussera de nouveau ses bottes de sept lieues pour rencontrer les lecteurs, leur présenter et dédicacer Echec, et Mat (avril 2022) à l’occasion de l’édition de 2022 du SALON DU LIVRE ET DES ARTS PLASTIQUES DE FOURAS (Charente-Maritime), sis “salle omnisports Roger Rondeaux”
« Un récit comme on rêve d’en écrire (…) »
« Cette fable fertile donne à la femme la place fragile des regards ultimes »
Luc Vigier (enseignant-chercheur Maître de conférences de littérature française à l’université de Poitiers)
« Texte addictif et lecture hypnotique. Galien Sarde nous offre un récit original doté d’une écriture magistrale. (…) Un exercice périlleux, mêler le tangible et l’intangible. Galien Sarde le réalise d’une main de maître et ce monde prend forme dans nos esprits sans difficulté. »
Annick Ferrant, « Les livres sans chaîne »)
« Galien Sarde décrit, construit son univers comme on peint un tableau, ligne d’horizon, lignes de fuite, grands aplats de couleurs qui évoquent parfois Nicolas de Staël. »
Anne-Catherine Blanc, écrivain
Finalement, on a franchi une porte dérobée, une dalle pivotant en silence pour qu’on entre dans une salle profonde, tout en longueur. Notre guide s’est, d’un coup, éclipsé, mettant sa capuche remplie d’ombre – on ne le reverrait jamais, où que ce fût. Une seconde dalle, alors, s’est mise à pivoter, là encore en silence, livrant passage à une ombre qui s’avançait en en projetant une autre démesurée du fait des coupelles où brûlaient des mèches dans une huile entêtante, lovées comme des serpents aux crocs venimeux – et c’était Eurydice.
in Echec, et Mat, de Galien Sarde
Avis des lecteurs
« C’est un livre sur les choix que l’on fait - que l’on doit faire ?- et sur les rencontres : celles-ci qui nous changent et peuvent nous mener, comme dit le narrateur, « au cœur de l’être ». Sur le chemin, il y aura aussi des scorpions, des murènes, des rêves et des cauchemars, et la peur, omniprésente. Mais surtout, il y aura le regard d’Eurydice, ce regard qui aiguillonne les autres et qui les oriente bien loin du « réel immonde. » (Babelio)
« Et puis vous aurez soif. (…) ce roman polysémique pointe plusieurs thèmes en résonance particulière avec notre époque : l’écologie, la liberté, le déterminisme, la fiction, et (c’est peut-être sa plus grande richesse) tout un champ de possibles selon la sensibilité de chacun des lecteurs. (…). L’eau (vie), la liberté, la fiction (imagination, création…), trois éléments liés, interagissant les uns sur les autres comme les éléments d’une chaîne alimentaire, d’une chaîne de vie. » (Babelio)
