Ce qui frappait d’emblée lorsque l’on rencontrait Lucy, c’était son extrême maigreur. Puis son regard, fuyant, traqué, et en même temps d’une grande douceur, mais d’une douceur fatiguée, profonde, celle de quelqu’un qui semblait revenir de mondes lointains, insoupçonnés, ou plutôt, qui n’en était pas tout à fait revenue.
Fables fertiles ouvrira grandement les portes d’une fin d’année le 25 novembre prochain, avec la réédition entièrement révisée du conte moderne de Laurent Pépin