Fables fertiles ouvrira grandement les portes d’une fin d’année le 25 novembre prochain avec la réédition entièrement révisée du conte moderne de Laurent Pépin : « Monstrueuse féérie »…
« Un exercice poétique, tendre, cruel et inattendu, de haute volée. »
Hugues Robert pour Charybde
Monstrueuse féérie est le premier volet de trois d’un conte insolite et fascinant, tout entier parcouru d’un imaginaire de luttes sublimées visant à « se tenir debout face aux vivants ». La monstrueuse beauté de tout un univers halluciné nous hèle puissamment, pour une fugue hypnotique, admirable.
Une œuvre exceptionnelle, mais aussi une trajectoire éditoriale dont nous souhaitons aujourd’hui vous conter brièvement l’histoire (ajoutez mentalement : « Il était une fois… »)…
En 2020 paraissait Monstrueuse féérie, qu’éditait une maison d’édition associative courageuse dénommée Flatland éditeur, « courageuse », puisque dotée d’une vraie force de volonté déclinée en énergies intenses, « malgré et du fait » de toutes les difficultés inhérentes au fonctionnement des petites et microstructures, où il faut savoir tant et tant retrousser les manches avec peu.
Le livre est aujourd’hui épuisé. Sa diffusion demeura modeste, mais la réception de Monstrueuse féérie, par les lecteurs, comme par la critique, se révéla être un bien beau conte.
« Puissant, percutant, dérangeant, merveilleux, délirant (…). A lire absolument! »
Céline Proust, librairie « Raconte-moi la terre », Lyon
En février 2022, les éditions Fables fertiles, à leur tour, furent invitées à identifier le monstrueux objet féérique, mais aussi les deux autres volets qui complètent l’œuvre ; invitées à les estimer.
Diamantaire n’est pas un métier revendiqué par la maison, mais les pierres se révélèrent manifestement précieuses et il ne fut pas question de s’en dessaisir avant d’avoir « vu » plus avant (Fables fertiles ne se savait pas encore sous l’emprise d’un sortilège).
Et « voir », ce fut bien vite… torturer Laurent Pépin jusqu’à lui soutirer, à défaut d’aveux, un consentement visant à retailler les pierres, encore… L’auteur – ou le découvreur – fut ainsi enchainé et mis à la tâche, sa force de travail fut copieusement surexploitée, mais celui-ci tînt bon, vaillamment. Car Laurent Pépin est vaillant.
“Exploration clinique et poétique de la psyché humaine (…) une œuvre littéraire fascinante, chaotique et horrifique, admirablement écrite. »
Feyd, in L’épaule d’Orion
Le résultat est bientôt là. Monstrueuse féérie est presque là ! La renaissance était une impérative nécessité, car cet objet littéraire mérite de voyager très, très largement… Si Monstrueuse féérie est presque là, l’impatience, elle, est déjà là, bien là.
Pour accompagner cette réédition, Laurence Biava, écrivain, agent littéraire et chroniqueuse, a souhaité consacré une préface à Monstrueuse féérie.
« Le récit vous conduira aux confins de l’imaginaire (…), étrangement (…), vous vous sentirez moins seul. »
Sophie Germain, in Nouvelle Donne
L’objet ne méritant pas moins que la création d’une collection, précisons enfin que la maison inaugurera, avec cette parution, sa collection dédiée aux contes, L’heure des contes.
Les deux autres volets de la trilogie seront également réédités par Fables fertiles.
« Bouleversant (…), une beauté sauvage, dérangeante et admirable. »
Evelyne Sagnes, in desirdelire.fr
Voilà. Ce sera tout pour aujourd’hui, mais nous reviendrons vers vous avant la date fatidique, chers lecteurs, c’est promis (fatidique, puisqu’il s’agit de destinée).
Mais avant cela, laissez-nous vous offrir un extrait de Monstrueuse féérie :
Monstrueuse féérie, de Laurent Pépin, édition entièrement révisée à paraître le vendredi 25 novembre 2022 (120 pages, prix public : 16€20)
Précommandes : en librairie, sur les différentes plateformes internet de vente et sur le présent site des éditions Fables fertiles (chèque ou virement, frais d’envoi offerts, livraison le jour de la parution publique garantie*)
* Pour toute commande passée jusqu’au 21 novembre 2022, sauf problème dans le délai moyen d’acheminement postal indépendant de la volonté de l’expéditeur