L’écrivain œuvre de sorte que les mots « s’effacent » derrière ce qu’il veut dire, et ceux-ci – ces mots d’un vocabulaire concret – passent donc au tamis, aux fins de ne voir conservé que ce qui veut être dit, de ce que quelqu’un veut dire, soit Jules Supervielle éveillé et Jules Supervielle, dormeur conscient.